» Fraiche matinée. [Pv.Mizuki Ayato]

**Makoto**

L'air était humide et glacial. Il faisait plutôt froid ce matin et pourtant nous ne sommes pas en pleins hiver. Les gouttes d'eau s'accumulaient sur les feuilles des bambous pour finir par glisser et tomber au sol en petites flaques. Le ciel était difficile à distinguer à cause de tout ces bambous qui s'étendaient à perte de vue bien qu'on ne puisse pas voir très loin dans cet endroit. Malgrès tout ceci Makoto trouvait encore une raison pour s'avanturer ici, à zigzaguer entre les tiges des longues plantes. On se sentait comme enfermé à l'intérieur de cette forest. C'était d'ailleurs les seul endroit où Makoto n'avait pas peur d'être enfermé. Pourquoi ? Tout simplement parce que c'était un des seuls endroits où il se sentait un minimum en sécurité car chez les Morinagas, il ne trouvait presque aucuns lieux où se reposer, malheureusement.

Il marchait tranquilement tout en faisant attention à ne pas se prendre de feuilles dans le visage. Il faisait aussi attention à ne pas déchirer un de ses vêtements qui pourraient rester accrocher sur une branche. D'ailleurs, aujourd'hui le jeune homme était habillé simplement ; un long T-shirt blanc trop grand pour lui et gribouillé d'inscription rouges, un simple jean bleu foncé et enfin le même collier qu'à ses habitudes. Aussi, aujourd'hui il n'avait pas prit le temps de se coiffer comme il le fait chaques matin. Quelques instants plus tôt il était encore dans le bâtiment mais il voulait profiter de la brise matinale et ainsi prendre l'air tranquillement. Les matins comme celui-ci deviennent de plus en plus rare. L'air frais et l'athmosphère silencieuse. Rien de tel pour se réveiller en douceur après une nuit agitée.

Sans trop savoir où il allait, Makoto continuait à avancer doucement mais sûrement. Il ne voulait pas prendre le risque de se faire mal. Les bambous se faisaient de plus en plus denses et le juene homme fut forcé de sortir ses mains ses poches pour pouvoir écarter les plantes sur son passage. Elle étaient trempées mais cela ne le dérangeait pas. Plus il s'avançait, plus il l'endroit semblait le même. Il savait qu'il ne tournait pas en rond mais il ne savait pas où il était. De toute façon, il retrouverait son chemin, comme d'habitude. Il se perdait souvent ici mais trouvait toujours la bonne direction à prendre. Bien sûr, ce n'était que des coups de chance puisqu'il était incapable de dire où il se trouvait à présent. Mais il faisait confiance à sa bonne étoile. Mais le jour où elle arrêtera de briller, il sera en bien mauvaise posture.

Pas à pas, la forest semblait interminable et Makoto commençait à être fatigué de marcher ainsi et aussi longtemps. Cela devait bien faire une bonne heure qu'il trottait sans relache. Exténué, il s'arréta et s'adossa à un bambou afin de souffler un peu et de reprendre des forces. Il ferma les yeux et s'aperçut que l'endroit était étrangement calme. C'était agréable et étrangement reposant. Puis finalement, il se releva d'un bon. Il ne fallait pas qu'il s'endorme ici tout de même ! Il se frotta les yeux et balaya les lieux du regard. Ses yeux s'arrêtèrent sur un petit cabanon qu'il n'avait encore jamais vu. Tiens, il y peut-être des gens ici ? Le blond s'avança d'un pas silencieux et méfiant. On ne sait jamais sur quoi on va tomber dans ce monde. Arrivé à quelques centimètres de la cabane, il se baissa et rampa jusque sous une fenêtre. Là, il prit une grande respiration et passa sa tête contre le carreau. Il n'y avait pas de carreaux ... Voyant qu'il n'y avait personne, Makoto éclata de rire. Il s'aperçut qu'il devait avoir l'air bien idiot à inspecter ainsi le cabanon. Heureusement que personne ne le voyait sinon on le prendrait facilement pour un fou ou plus simplement pour un gamin. Enfin, on est jamais sûr d'être seul ici.

Après s'être calmé de son petit fou rire solitaire, Makoto se redressa et entreprit d'aller voir à l'intérieur de la cabane. Il n'y avait même plus de porte. Visiblement abandonné, la cabanon était en ruine et en très mauvais état. Mais cela n'empèchait pas Makoto de se mettre à fouiller dans ce qu'il restait de potable. Il y avait un espèce de bureau au fond et le jeune homme ouvrit le seul tiroir qui restait. Les autres n'étaient plus là ou alros complétement miteux. Makoto posa sa main sur la poignet et ouvrit le tiroir et là ...

« AAAAAAAAAAAAAAAAAH ! »

Il poussa un cri suraiguë en voyant l'énorme araigné qui en sortit. Il recula brusquement et cogna contre le mur opposé. L'insecte sortit tranquillement du tiroir et rampa sur la sol pour enfin sortir. Le blondinet avait coeur qui battait à tout vitesse et il devait même avoir sauté quelques battements. Il resta immobile quelques secondes afin de se calmer puis il s'approcha une nouvelle fois du tiroir en vérifiant, cette fois-ci, qu'il n'y avait plus rien à l'intérieur. Sans toucher le tiroir, il jetta un coup d'oeil à l'intérieur. C'est bon, il n'y avait plus rien sauf quelques chose de brillant qui était dans un coin. Makoto attrapa l'objet qui attira son attention puis l'étala dans sa main. C'était un collier orné d'une petite pierre blanche. Il était poussiéreux mais mangifique. Le jeune homme resta un long moment à le contempler ainsi. Mais d'où pouvait-il bien venir ?

**Mizuki Ayato**

Quel jour sommes-nous ? Cette question semblait poser problème, personne ne pouvait bien y répondre et la jeune Mizuki commençait à s’ennuyer dans cette gigantesque maison, il n’y avait rien de marrant a faire et pourquoi sommes-nous ici ? On n’a rien fait nous ! Pas de shopping, pas de personne pour travailler, rien ! Hormis cette grande villa ancestrale, tenue par les enfants Morinaga. Franchement ils pourraient nous prévenir que se soit une émission de téléréalité, je veux bien qu’on ait envie de voir mon jolie minois mais quand même. Pfft avoir déjà tout les vêtements possible et inimaginable dans le placard c’est décourageant. Il est mieux de les chercher soit même comme entrer dans l’antre du démon mais la vraiment. En plus les domestique ne sont la que pour faire le diner ou encore nettoyer la maison. Même si l’on accepte de ce faire enlever il pourrait nous donné quelqu’un. Pas un esclave non. Une personne qui peut nous coiffé, nous habillé, mais non rien de tout cela. Quand le jeu sera finit miss Ayato aura vite fait de parler avec son agent pour se plaindre. Mais il n’y a aucun moyen de communication. Le réseau ne passe pas, et certain disparaisse âpres avoir eut affaire a l’un des enfants Morinaga. Ou d’autre sorte même très étrangement, comme transformé. Mais bon Mizu est quelqu’un de très borné et elle n’aura pas de sitôt changé du tout au tout.

Dans la villa elle ne connait pas fort beaucoup de monde, non a part les enfants, elle ne connait que Sôma avec qui elle s’entend plutôt bien, peut-être est-ce parce que leurs caractère se ressemble un peu, mais ce qui lui manque aussi ce sont les garçon. Elle n’a pas particulièrement porté d’amour a ceux-ci, peut-être une ou deux fois, mais elle les considère plus comme ami. Car elle n’aime pas vraiment dire Non, elle trouve que ce n’est pas un mot qui aille bien avec son tempérament, elle ne le dit que a quelqu’un qui n’est pas a son gout, qui n’est pas passé par la case amitié auparavant.

Miss ce matin avait eu beaucoup de faciliter a choisir son ensemble, elle se demandait bien ce qu’elle allait bien pouvoir mettre, franchement je plain les domestique de passer dans la chambre âpres l’ouragan qu’elle avait provoqué, l’étendue de l’armoire était si grande que l’on ne voyait plus ou pouvait bien être positionné le futon, ou même le canapé avec la table basse et vous n’imaginez même pas la grandeur de la chambre. De quoi faire entrer un troupeau d’éléphant dedans, pour ce point la au moins elle ne se plaindrait pas. En fouillant encore son nez un peu plus loin, histoire de mètre un peu plus de désordre dans son bazar, elle trouva une chemise fort simple accompagné d’une cravate d’une noir pur. Hum voila enfin une chose intéressante. Celle-ci elle y déposa délicatement sur une chaise qui avait apparemment survécue à son déluge. Mais il ne fallait pas s’en arrêter la. Elle n’allait tout de même pas sortir en sous-vêtement dehors ?! Elle trouvait a coter une jupe d’un air écossaise mais au couleur noire et grise, mais elle est fort courte hum. Bah sa ressemble au uniforme d’étudiant qu’elle portait sa la rajeunira. Ce n’est pas pour autant que c’est une loque.

Hum maintenant que l’habit était prêt, a la préparation. Miss mis le chauffage et commençais à entrer dans le bain qui semblait être préparé a l’avance. Un piège ? Une scène érotique pour l’émission ? Hum bon pourquoi pas. La jeune demoiselle entra sereine dans son bain pour ressortir une heure plus tard seine et naturellement propre. Ces cheveux mouiller lui allait a la hauteur mi-longue s’arrêtant en son dos. Elle se regardait dans la glace induite de bué, qu’elle eue sitôt nettoyé. La tenue c’est bien mais la coiffure aussi. Hum si seulement quelqu’un était présent pour l’aider. La gente féminine serait la bienvenue. Bon occupons en nous plus tard. Elle enroula ces long cheveux dans une serviette pour que ceux-ci de un tiennent et puissent ne plus être imbibé d’eau.

Retrouvant sa chaise, celle-ci remarqua que la chambre avait été débarrassée, ce fut rapide. Elle mit ces sous-vêtements (je vous passe les détails X), ou elle mit comme haut en premier un débardeur léger qui lui collait au corps mais sans bretelles, puis mis la chemise blanche par-dessus. Elle lui était un peu grande mais ce n’est pas l’important. Elle laissa le premier bouton en vague et commença à mettre sa cravate, elle ne serait pas le nœud, pour laisser un peux de style dans sa tenue, enfila sa robe vite fait et mis des chaussettes blanche avec un trait noir qui lui arrivait juste en dessous de genoux. Celle-ci finit par lâcher la serviette et ce faire une couette haute comme une lycéenne sortit tout droit d’une série.

Elle était prête à affronter la journée. Mais aujourd’hui le temps semblait humide et froid frais. Ce qui ne donnerait pas envie aux autres de venir l’épier derrière elle. Ainsi partait-elle à l’aventure. Sortant de la grande villa, la demoiselle ce trouvait devant un jardin fort dense, d’un coter on pouvait voir un puits avec un banc ou les oiseaux s’amusait en gazouillant avec la rosée du matin, mais ce qui l’intéressait elle c’était l’autre coté», une partit de la clairière de la forêt de bambous. Peut-être que de l’autre coté ce cachait la sortie ? Hum raison de plus pour partir la chercher. Mais plus la demoiselle avançait et plus celle-ci devenait dense. Mais qu’est-ce que c’est que cet endroit ? Rah bon au moins sa met du piment dans le jeu mais bon quand même a se point cacher la réalité. Mais la miss n’était pas au bout de ces peines. Quand à moitie tremper elle rencontra heu une cabane ? Ca vous étonne si je vous dis que celle-ci est faite de bambou et a l’air en piteuse état ? Hum possible, elle peut-être hante ou tout autre la direction s’inquiétera de sa disparition et viendrons la chercher.

D’un pas décidé, Miss avançait jusqu'à celle-ci quand un cri glacial ce fait entendre, hum est-ce finalement une si bonne idée ? Hum trouillarde mais témoins. La jeune fille commençait à avancer a pas de loup accroupis jusqu'à une fenêtre. Hum pas de danger finalement celui-ci semblait seul. Tout en étant d’un pas discret celle-ci avança jusqu'à lui. De dos elle ne pouvait pas vraiment savoir qui il était, elle voyait par contre que celui-ci était blond, bon okay et portait un long t-shirt avec marquer un peux de tous et n’importe de quoi dessus accompagné d’un jeans comme bas. Voulant voir qui c’était d’un peux de plus prés, Mizuki ce rendait compte a quel point celui-ci était grand comparer a elle. Bien que celui-ci paraitrait petit par rapport a un adulte il semblait grand, mais ne possédait pas carrure a être sportif, mais mannequin hum. Miam peut-être est-il de même profession que Mizu ? Ce mettant tant bien que mal sur la pointe des pieds celle-ci tentait de voir ce que le jeune homme faisait. Mais gaffeuse comme elle est ces sandales glissière tombant ainsi sur le jeune homme. Ce rendant compte de ces dégâts la jeune fille s’éloigna de suite, puis vit un objet briller et l’attrapa. Son regard s’illuminait et dit d’une voix fluette :

« Ouaaaah, il semble fait pour moi »

**Makoto**

Perdu dans ses pensées, Makoto ne cessait de contempler le bijou qu'il tenait entre ses mains. Pendant un instant, il eut bien envie de le prendre pour lui mais si il appartenait à un adopté Morinaga le jeune homme serait en bien mauvaise posture. D'ailleurs c'est pour cela qu'il resta dans l'idée de l'examiner mais de le laisser ensuite là où il l'avait trouvé. Après cette petite réflexion, le blond se demanda d'où pouvait bien provenir cette petite merveille. Peut-être avait-elle une longue histoire ? Peut-être avait-il appartenue à quelqu'un de célèbre ou d'ancestral ? Plusieurs questions de ce genre traversèrent l'esprit du blondinet qui ne pouvati détacher son regard de ce collier. D'ailleurs, il se jugeait bien chanceux d'être tombé dessus un jour pareil et dans un endroit pareil ! Qui aurait bien pût vouloir habiter ici ? A en juger par l'état du cabanon peu de monde car il était en ruine et complétement délabré. Aussi, ce collier était la seule trace de vie qui restait d'un hôte ayant voulu sortir de cet endroit. Cet hôte se serait échappé de la maison et se serait réfugié ici, dans cette forest de bambous. Après mûre réfléxion, Makoto se trouvait bien stupide de penser cela car il savait très bien qu'aucuns hôtes ne pouvaient sorti d'ici. Ils étaient trop surveillés et prisonniers pour cela.

Enfin bon, là n'est pas la question ni le problème. Makoto avait des frissons dans tout le corps rien que de repenser à cette mésaventure avec l'araignée, un peu plus tôt. Elel était vraiment immonde et répugnante. On dit souvent que les hommes sont des durs à cuires et n'ont peut de rien mais avec les insectes c'est une toute autre chose ... D'ailleurs, Makoto avoue sans problèmes son déguout pour ses petites bestioles à huits pattes. En y réfléchissant, il doit être un des seuls hommes mais il s'en fiche bien car au moins comme ça, il n'aurait pas à se forcer pour garder son mensonge vivant. Par moment, le blondinet regardait encore derrière lui pour voir si cette saleté n'était pas revenue entre temps mais à chaques fois, il tombait nez-à-nez avec la fenêtre ou du moins ce qu'il en reste.

Au bout d'un petit moment à regarder cette pierre que l'on pourrait dire précieuse, Makoto se pencha un peu afin de pouvoir la remettre dans le tiroir et s'en aller d'ici pour essayer de retrouver son chemin à travers cette forest de bambous. Il n'eut pas le temps de faire le moindre geste qu'il se sentit tomber sous le poids de quelques chose. Ou plutôt quelqu'un de pas très lourd soit, mais quand même. Le blondinet tomba littéralement par terre, dans la boue qui plus est, et avec son T-shirt blanc ... C'était génial. Il poussa un petit cuinement signe qu'il avait eut quand même un peu mal et esseya de se relever comme il put. Il sentit la jeune personne s'éloigner un peu puis il s'aida de ses bras pour s'asseoir sur le sol mouillé. De toute façon, ça n'avait plus grande importance qu'il soit mouillé ou pas, il devrait quand même se changer une fois rentré. Si il arrive à rentrer, bien sûr.

Après s'être essuyé les mains, le blondinet releva la tête afin de voir a qui il avait affaire. La jeune fille s'était empressée de s'emparer du collier et avait ajouté qu'il lui irait sûrement très bien. Il ne l'avait jamais vu auparevent mais n'était sûrement pas un adopté Morinaga. Elle est bien brune et pas très grande elle-même. Enfin quelqu'un qui pourrait le comprendre ! Elle avait un petit visage enfantin très agréable à regarder. De ce que l'on pouvait voir de son corps, elle n'était pas bien grosse, même très joliment bâtie. Ses cheveux avaient l'air d'un soyeux ... Makoto eut bien envie de passer sa main dedans mais il se retint. Il se contenta de faire une moue pas possible. Oui, le fait qu'il soit complétement salit l'embêtait bien et même beaucoup.

« Je suis tout sale maintenant ! »

S'exclama-t-il en faisant presque semblant de pleurer comme un enfant qui veut un bonbon. D'ailleurs, il jouait bien son rôle d'enfant avec son haut trop grand pour lui. Tellement que l'on ne voyait plus ses mains qui étaient camouflées dans ses manches sans qu'il l'ait réellement voulu. Après sa petite crise passagère de colère qu'il réussit tant bien que mal à contrôler, Makoto reporta son attention sur la jeune fille qui était assise, elle aussi, devant lui et qui contemplait le collier comme lui l'avait fait un peu plus tôt. Il souria de voir enfin une personne avec qui parler, depuis le temps qu'il attendait un peu de compagnie. Il se mit à quatres pattes et avança vers elle. Une fois près d'elle, il se mit sur les genoux et prit le collier des mains de l'inconnue.

« Si tu le trouve si joli, tu pourrais l'essayer pour voir ? Je suis sûr qu'il t'ira bien. »

Sans même attendre l'avis de la jeune personne, Makoto mit le collier autour du coup de la demoiselle. Il prit grand soin de ne pas abîmer ses doux cheveux puis l'attacha soigneusement. Une fois cela fait, il se rassit sur ses pieds même si le sol n'était pas très confortable pour ses genoux. D'ailleurs, il venait de se rendre compte que dans cette position, assit sur ses genoux, il était en train de salir tout son jean ... Bon tant pis, ce n'est pas grave, il le mettrait à laver en rentrant. Et puis, il avait déjà salit son haut, autant faire pareil avec le bas même si cela ne lui faisait pas plus plaisir que ça et qu'il aurait amplement préféré l'éviter.

Revenant à la situation, le jeune homme souria à voir la jeune fille porter les collier. Il souria une nouvelle fois et s'exclama gentillement ;

« En effet, il te va très bien. »

**Mizuki Ayato**

Mizuki est comme vous avez surement due vous rendre compte une personne très enfantine, elle adore tous ce qui brille et ce qui a de la valeur de plus est. C’est pour sa que des que le pendentif s’en fut envoler la jeune fille eue les yeux qui ce son river dessus et par ailleurs ceux si on eut comme des étincelles disant c’est a moi !!! Pas touche. Bon Mizu est très possessive mais peut des fois être calmé. Quand elle désire une chose, elle l’obtient. Si quelqu’un a le malheur de refuser je ne donnerais pas chère de votre peau. Une ou deux heures à tout prendre. Car sa colère noire se reflète par de petite larmes que celle-ci s’empresse de crée, et je vous dis qu’elle n’à pas peur de se montrer ainsi en publique. Fondant en larmes genoux à terre. La faute est repousser sur le tortionnaire ainsi elle obtient tout. Ceci est l’avantage.
Jamais elle n’à point obtenue ce qu’elle désirait. Mais derrière ce visage d’ange ce cache le petit Démon. A l’apparence, Miss est peut-être perfect, mais il se trouve que non et ces default, elle les qualifierait plutôt comme qualités âpres tout, il ne faut jamais avoir mauvaise estime de soit.

Miss était tombée auparavant sur un jeune homme, qui l’intriguait vue qu’il semblait lui aussi fasciné par quelque chose. Mais elle ne saura point de quoi. Car maintenant elle était plus intriguée et fasciné par ce petit bijou. Il était plutôt petit, accrocher a une fine chaine en argent. Possible que ce soit du plaquer, mais ca elle s’en fichait, car celui-ci brillait de mille feux, et c’est pour ca qu’elle l’obtiendrait. Mais est-ce un risque ? Peut-être était-il a quelqu’un ? Ce qui l’intéressait surtout c’est son histoire. Mais cet endroit cachait tellement de secret qu’elle ne le découvrira surement pas.

Revenons nous en a nos moutons, miss n’est point seule dans cet espace, oui un garçon qui avait été percuté par la jeune demoiselle et en un instant oublier par ce bijou, revint en sa mémoire. Il avait un visage enfantin tout comme la demoiselle, et sont t-shirt lui semblait fort grand pour lui, les manches pendouillantes. Ces cheveux était en bataille mais semblait être mis exprès en ce sens, aillant quand même un effet un peux coiffer. Mais ce qui ferait craquer la jeune fille c’est le petit coter boudeur qu’il avait eut deux seconde auparavant, qui ressemblait fort au siens, hum une personne fort intéressante dans ce monde tendue ?

J.H.: « Je suis tout sale maintenant ! »

Miss Ayato avait eue l’air d’oublier que le sol était fort boueux, voici donc pourquoi celle-ci a malencontreusement percuté le jeune homme. Ainsi était-ce donc la faute de la jeune demoiselle ? Hum oui, je vous l’ai dit derrière ce petit Ange ce cache un diablotin près a vous surgir dessus.

M. : « Hi ! Hi ! Hi ! »

Pas très polie, mais miss est quelqu’un de très joueuse, et un tout petit truc pourrait la faire rire. Malheureusement elle ne se tape pas des grands délires à rire haut et fort comme tout le monde. Non ce serait plutôt un petit rire moqueur, cristallin. Mais j’y pense, la demoiselle aussi devrait être tachée parmi toute cette bout. Ce n’avait pas loupé, et la jeune demoiselle commençait déjà a faire une petite tête de moue, pour montrer sont mécontentement, seules ces chaussettes furent atteinte, mais ce n’était pas agréable, il faudra encore qu’elle passe trois heures le nez dans les placards pour trouver quoi ce mettre d’autre afin de mettre ces affaires aux salles qui partirait zioup a la laverie. Retournant ainsi à ces rêves le jeune homme avait soudain répondu à sa remarque envers l’objet convoité.

J. H. :« Si tu le trouve si joli, tu pourrais l'essayer pour voir ? Je suis sûr qu'il t'ira bien. »

Aussitôt que celui-ci eue dit cela, celui-ci ce posa sur ces genoux trouvant le moyen de lui accrocher le collier, il l’avait accroché délicatement, faisant attention a ces cheveux pour que ceux-ci ne s’accroche point. Hum maintenant il ne manquait plus que le miroir, peut-être que cet endroit sinistre possédait un miroir ? On ne sait jamais, il fut peut-être habiter en un temps. Non ? Bon je me tais alors. Ce relevant d’un bon Miss observait la pièce, pas très accueillant, des toiles d’araignée semblait tissés dans les coins de la pièce. Brrr. LA jeune fille avait horreur de ces animaux velue a huit patte, ne parlons même pas des serpents, plus ils sont loin mieux elle se porte. Pourtant la demoiselle possédait un de leurs atout, leurs yeux qui garde captif, plus sont venins qu’il a de vous ensorceler à faire ce qu’elle vous dit.

La pièce était très petite, ils semblaient qu’à deux on étoufferait de chaleur, mais pourtant miss ne semblait pas éprouver ce problème. Mettant sa mains au front comme si elle cherchait quelque chose au loin, un lavabo miteux attirait son attention, au dessus un miroir tout en aussi mauvais état ferait surement l’affaire. Sautillant jusqu'à l’endroit convoité, elle ne voyait même pas le bout de son nez en collant. Hum c’est fort embêtant vue que Le jeune inconnu lui avait dit qu’il lui allait bien. Elle aurait qu’en même voulue ce voir.

Celle-ci voulut alors ouvrir le lavabo, ce qu’elle fit d’ailleurs, mais un liquide rouge y coulait. Hum j’ai bien dit ROUGE. Qu’est-ce que cela pouvait bien être ? Sans même ce poser de question, la demoiselle hurla de terreur.

M. : « AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH »

Pour un cri cela c’était un cri, qu’est-ce que pouvait bien être ce liquide imprégné sur sa mains ? Du sang ? N’allons quand même pas jusque la. Sa en a l’odeur, la couleur. Cette maison semblait être entourée d’un mystère fort spécial. Sans même avoir le temps de penser à quelque chose la jeune fille fonça se refugier vers le jeune homme, tremblant de terreur…

**Makoto**

Sale, boueux, humide ... Voilà dans quels états ce sentait Makoto à ces instants précis. Et malheureusement pour lui il en avait horreur. Gardant sa bouille en colère malgrés son petit sourire en coin, le jeune homme tentait tant bien que mal de faire comprendre sa frustration. Mais il faut dire qu'il n'était pas très crédible dans ce rôle. Comme il le fait à chaques fois, le blondinet se pleignit de l'état de ses vêtements. Il aurait bien voulu pousser un grand cris de rage mais il se retint en se souvenant qu'il avait une jeune demoiselle à ses côtès et qu'il ne fallait pas que son caractère colèrique refasse surface une fois de plus. Ce serait trop dangereux et puis, il ne voulait pas effrayer la jeune fille. Toujours assit par terre avec son air boudeur, Makoto entendit la jeune fille rire de ce qu'il venait de dire. Gentillement vexé, le blond poussa un petit couinement aiguë en agitant les bras de la même façon que l'aurait fait un enfant qui réclame un jouet ou autre bonbon.

« Mais c'est pas drôle ! »

Dit-il en essayant de se montrer le plus sérieux possible sans y arriver. En effet, il n'arrivait pas à faire disparaître son petit sourire qu'il avait depuis le début de la rencontre. Pourquoi ? Simplement parce qu'il trouvait la situation amusante et migonne. D'ailleurs, la jeune inconnue aussi était vraiment mignonne. Il s'étonna de ne pas l'avoir vu déjà quelques part pourtant il n'en gardait aucun souvenirs. Peut-être venait-elle juste de se faire extraire de la vraie vie, si on peut appeler cela ainsi.

Après sa petite crise de colère tellement enfantine, Makoto se rendit compte que la jeune fille aussi était salie. Ah ah ! Comme ça il ne serait pas seul à devoir mettre ses vêtments au sale ce soir. En même temps, comment réussir à rester propre en voyant l'état catastrophique du sol ? En y réflechissant mieux, Makoto se demanda depuis combien de temps cette caban avait était abandonnée. Quelques mois ? Non sûrement pas, depuis beaucoup plus longtemps. Les murs et les fenêtres étaient en trop mauvais état pour cela. De plus, les toiles d'araignées tissées presque à chaques coin des pièces prouvaient bien que cela faisait un certain temps que cet endroit avait était abandonné. D'ailleurs, pourquoi avait-il était abandonné ? Peut-être à cause du milieu dans lequel il avait était contruit. Ou peut-être encore à cause du temps humide qui ne facilitait pas du tout l'entretient du cabanon. Ou tout simplement parce que ses anciens occupants ne faisaient plus partis de ce monde. Cette dernière pensées fit frissoner Makoto de tout son corps. Si c'était le cas, que leur était-il arrivé ? Une agression ? Un meutre ? Une disparition ? Soudain, le blondinet se sentit mal à l'aise dans cet endroit. Puis il secoua la tête afin de se sortir toutes ces questions du crâne. Elles étaient toutes aussi stupides les une que les autres.

Et puis il y avait plus intéressant ! Par exemple, la jeune inconnue qui s'était levée d'un bon. Une fois qu'elle fut debout, Makoto se sentit encore plus petit que d'habitude. En effet, il n'est vraiment pas très grand, la nature ne l'a pas gâté sur sa taille. Mais d'un autre côté, cela lui donnait un certains charme apprècié de beaucoup de personne même si il haït ses 160 centimètres environ. Mais nous ne sommes pas là pour aprler de sa taille ! Intrigué par le bon soudain de la jeune fille, le blondinet se leva à son tour. Seule différence ; lui mit beaucoup plus de temps à se relever. Pourquoi ? Tout simplement à cause de son T-shirt boueux. A cet instant il se maudit d'avoir mit un T-shirt trop grand car, du fait qu'il soit trop grand, il prenait beaucoup plus l'eau et la boue et était donc beaucoup plus lourd et désagréable à porter.

Quand il fut enfin levé après quelques efforts, Makoto épousseta ses vêtements à l'aide de ses mains afin d'enlever ce qui pouvait être encore enlevé. Quand il eut finit son petit manège, il releva la tête vers la jeune fille qui était devant un vieux lavabo. Pendant un instant, le blond se demanda pourquoi elle était devant un lavabo mais il aperçut bien vite le miroir qui était devant le visage de la demoiselle. Mais même vu de loin, le miroir ne semblait pas en bon état du tout. On y voyait pas grand et de près cela devait être pire encore. Makoto se rapprocha de quelques pas avant de demander sur un ton intrigué ;

« Qu'est-ce que tu fais ? ... »

Il n'eut pas le temps de rajouter autre chose que la jeune fille se mit à hurler. Surprit, le jeune homme recula d'un pas et tenta de connaître la raison de la peur de la jeune demoiselle. Il se pencha un peu sur le côtès et vit le lavabo ouvert mais le plus impressionnant c'était ce qui en coulait. C'était un liquide rouge sang. Rouge sang ... Non ... Pendant un instant Makoto fut prit de panique et il entoura de ses bras la jeune demoiselle qui accourait vers lui.

« C'est ... C'est du sang !? »

Dit-il sur un ton paniqué tout en faisant attention à garder la jeune fille dans ses bras comme si quelques chose d'horrible allait lui arriver si il la lachait. Il n'avait aucune idée de la nature du liquide mais on aurait vraiment dit du sang. En était-ce ? Sûrement mais alors d'où venait-il ? Et de qui ou quoi ? Cette situation était vraiment étrange et déstabilisante et c'est pour cela que Makoto ne pût s'empécher de se poser la question de pourquoi il avait eut l'idée de venir ici. Certe, il n'aurait pas connu la jeune inconnue mais il aurait éviter cette drpole de rencontre avec du sang sortant d'un lavabo.

Prit d'un courage immense, le jeune homme déserra son étreinte sur le corps de la jeune fille et se dirigea vers le lavabo qui coulait toujours. Avec un air dégouté, il passa son doigt dans le liquide et le porta à son nez pour en sentir l'odeur. Impossible de savoir ce que c'était vraiment mais ça avait vraiment l'odeur du sang.

**Mizuki Ayato**

Miss était déconcerté, que pouvait bien être ce liquide tout rouge, gluant qui collait de partout ? Je n’aime pas ca, mais alors la pas du tout. Les yeux de la demoiselle étaient en pleur, des pleurs qui sont tombés tout seuls, sans que la jeune fille les réclame, elle ne savait pas quoi faire, crier et paniquer ? Ou rester calme et attendre sagement ? Miss n’avait n’y le temps de penser a l’un, ni le temps de faire l’autre. Elle avait peur. Qu’est-ce que cela pouvait bien être ? Etait-il ainsi condamner ? Elle qui il y a deux seconde avait le sourire aux lèvres, avec un soupçon de moquerie, se retrouvait l’esprit dans les vagues. Pensant soudain à ce qu’elle allait faire.

Inconsciemment elle avait courue vers le jeune, cherchant surement une épaule protectrice qui pourrait la réconforter. Hum je vous l’aie dit cette magnifique qualité ? Pleurnicheuse ? Cela va avec grincheuse âpres tout X). Malgré la petite taille du jeune homme la demoiselle devait ce mettre sur la pointe de ces pieds pour atteindre son épaule, pas très pratique mais réconfortante. Elle avait besoin de quelqu’un. Son corps tremblait comme une feuille morte.

Si c’était du sang ? Ca elle n’en savait rien, mais tout semblait croire que s’en était. Qu’elle est cet endroit froid et sinistre a la fois qui vous donne la chaire de poule ? L’ancienne maison des Morinaga avait que ceux-ci puissent vivre dans la maison principale ? Leur salle d’exécution ou de torture ? De torture fort peux probable venant d’eux. Ce serait plutôt la salle d’exécution, assez sinistre, et loin de la villa pour ne pas être attrapé, et pour leurs laisser peut-être l’espoir de leurs faire croire qu’ils sont pardonné et vive séquestrer ici ou donnée comme faux espoir et envoyé à la trappe.

Non je ne pense pas que se soit le style de Morinaga, ils auraient effacé toute trace et maquiller leurs crime afin que ce ne soit point découvert. Mais Mizu’ est fragile, elle est comme de la porcelaine qui ce brise en mille morceaux. Le jeune homme l’avait soudain lâché. Son appui venait de partir. La jeune fille tombait sur ces deux genoux. Il lui restait encore un peux d’espoir pour qu’elle puisse amortir sa chute et ainsi tomber sur ces deux genoux. La boue avait un peu giclé a cause de son contact au sol. La demoiselle avait ramené ces deux petites mains, vers ces fins petits yeux. Elle pleurait toujours, et a chaque minutes de plus belle.

Le jeune homme qui c’était éloigné d’elle semblait être allé voir la source de ces larmes, il dit sous l’air paniqué :

J.H. :« C'est ... C'est du sang !? »

Mizuki ne savait pas. Elle s’en fichait se qu’elle désirait c’est ne pas être seule, pas comme avant. Le sang l’aurifiait. Soit celui-ci lui donnait envie d’en voir plus, soit de ne plus justement en voir. Cette couleur, la miss ne l’aimait pas, elle lui rappelait de nombreuses choses en rapport et le passé. Alors que nous sommes au présent.

Miss essayait de ce relever, mais ce n’était pas simple, elle avait abandonné ces larmes, malgré sa chemise blanche, quitte a la tacher, que se soit plutôt les manches. Mais elle s’en fichait, tant bien que mal celle-ci réussi a se hissé sur ce deux jambes et a tenir debout. Ces larmes avait commencé a séché, mais une persistait à rester sur l’une de ces pommettes. Elle regardait le jeune homme avec un air enfantin, comme quelqu’un qui viendrait de se faire gronder par sa maman ou sa maitresse. Que lui répondre ? Oui et paniquer ? La miss répondit avec sa voix chouineuse :

M. : « Je… Je ne sais pas… »

Avec elle le jeune homme était mal barrer pour être sur de quelque chose, pour obtenir quelque chose d’elle en cet état ne serait vraiment pas facile pour lui. Et pour lui tirer les vers du nez n’en parlons pas.

La jeune demoiselle c’était calmé, elle ne savait trop quoi penser, était-ce un coup des Morinaga ?envers eux ? Ils les observent par on ne sait qu’elle manière ? Non, on souhaite tout rejeter sur leurs dos alors qu’ils n’y sont pour rien. Ayant retrouvé ces esprit, ayant un peux quand même la tète qui tourne, elle regardait le liquide rougeâtre sur sa main, celui-ci avait vite sécher, il formait quelque chose de bizarre que la demoiselle s’empressa vite de fermer la main. Le liquide c’était retrouver solide et âpres un souffle de Mizu dessus avait disparue en poussière.

Elle avança vers lui, ou pas à pas, ces pas semblait plus sur. Plus prés sera-t-elle près de lui mieux elle se sentira, elle avait une folle envie irrésistible de se jeter a nouveau dans ces bras, mais cela semblerait déplacé. Le miroir ne semblait pas avoir changé en deux minutes, alors que le lavabo lui était devenu d’une couleur rouge sang. A cause d’elle de plus. Frissonnant, elle mis ces mains contre ces deux fébriles bras tentant de ce réchauffer, en échappant a se froid sinistre et humide, sa chemise venait alors a devenir elle aussi rouge. Et une fille c’est bien a quel point le sang et son odeur son dure à faire partir. Repensant aux paroles du jeune homme celle-ci dit d’une voix plus reposé que la précédente :

M. : « Mais si tu me disait que ceci est de la peinture je me sentirait alors plus rassuré »

**Makoto**

La forte odeur de sang le répugnait au plus haut point et c'est pour cela que Akihito retira vite son doigts d'en dessus son nez. Il le secoua au-dessus du lavabo comme si cela allait changer quelques chose, comme si le liquide rouge aller s'en aller ainsi. Tout en se rendant compte que la tache ne partirait pas comme cela, Makoto tourna la visage vers la jeune fille qui était encore derière lui. Il remarqua qu'elle était tombée au sol. A cet instant, il regretta déjà de l'avoir lachée car il venait de comprendre qu'elle avait courru vers lui ainsi car elle avait besoins d'une épaule pour l'aider à surmonter cette situation. Et lui, comme un idiot, il l'avait prit dans ses bras quelques instants avant de la lacher pour repartir vers le lavabo. Bon, en même temps, il aurait bien fallut qu'il le fasse un jour ou l'autre afin de trouver la nature de ce liquide. Mais il s'en voulait déjà d'avoir laissé la jeune fille ainsi toute seule. La boue s'était étalée sur les genoux de la demoiselle et ses mains était posées sur son visage. Makoto comprit qu'elle pleurait et cela lui fit beaucoup de peine.

La voyant dans cet état, il fit un pas en avant pour aller la voir et la prendre dans ses bras pour la réconforter mais il n'eut pas le temps de faire un deuxième pas que la jeune fille essayait de se relever toute seule. Le blond la regarda faire, n'ayant pas la présence d'esprit d'aller l'aider. De toute façon, il ne voulait pas la salir et il avait les mains complétements induites de cet entrange liquide qui avait provoqué une grande panique chez les deux compaires. La jeune inconnue posa un regard enfantin sur Makoto ce qui le fit rougit. Elle était vraiment adorable à faire cette bouille-là et il ne pût s'empécher de laisser paraître un lèger sourire au coin de ses lèvres. Elle était si mignonne ainsi qui Makoto lui aurait bien déposé un bisou sur la joue mais, bien évidemment, il se retint pour ne pas avoir l'air trop déplacé.

Avec une petite voix tout aussi enfantine que sa bouille, elle répondit qu'elle ne savait pas. Makoto s'en doutait bien mais il avait espéré qu'elle est un petite idée. Lui n'en avait aucunes et c'est bien ça qui lui faisait peur. Et se c'était réellement du sang ? Et si c'étai tun coup des Morinaga qui les surveillaient encore ? Non, quand même pas mais la question se posait vraiment. Comment ne pas en être sûr ? Makoto reporta son attention sur le lavabo. C'était vraiment étrange ce liquide qui en coulait depuis quelques instants. Il était plutôt difficile de rester calme dans une situation comme celle-ci surtout qu'il ne voulait pas que la jeune demoiselle soit encore plus apeurée qu'elle ne l'était déjà. Il n'aimait pas la voir ainsi mais le fait de ne pas savoir si c'était du sang, paniquait tout le monde.

Puis Makoto posa ses yeux sur le liquide rouge qu'il avait encore sur les mains. Dégouté, il essuya sa main contre le mur bien que celui-ci soit déjà en piteux état.

« Yerk ... C'est visqueux ce truc. Et vraiment immonde. »

Dit-il avec une moue dégoutée sur le visage. Il avait beau essuyer sa main, le rouge ne partait toujours pas entièrement ... Bon. Tant pis, il se laverait les mains en retrant, si il arrive à rentrer un jour. Si il ne s'est pas fait assassiné par une quelconque bestiole qui serait en lien avec le liquide. Oh mais qu'est-ce que je raconte ? C'est n'importe quoi.

Après cette petite réflexion inutile, Makoto se retourna vers la jeune fille et vit que celle-ci s'était approchée de lui pas à pas. Elle avait l'air un peu plus rassurée que tout à l'heure et cela faisait, en quelques sorte, chaud au coeur du jeune homme. La jeune demoiselle croisa les bras et se frotta la peau comme si elle avait froid. Peut-être avait-elle froid en fait. Mais ce qui préoccupa le plus makoto se que comme elle se frotta les bras, elle étala toute une tâche de sang sur son vêtement. Makoto eut un petit rictus désolé pour la jeune fille mais elle n'avait pas l'air si embêtée que ça. Le blond allait prendre la parole quand le jeune inconnue lui répliqua que si il lui disait que le liquide était de la peinture, elle serait plus rassurée. Le jeune homme étouffa un petit rire amusé puis il lui répondit avec hésitation.

« Et bien ... je peux te dire que c'est de la peinture si tu veux mais je n'en suis vraiment pas sûr. »

Puis il reporta une nouvelle fois son regard sur le liquide rouge qui continuait de couler à flots. Makoto fit quelques pas vers le lavabo et ferma le robinet en se faisant quelques tâches supplémentaires sur les manches. Quelle idée il avait eut de mettre un T-shirt blanc ce matin ! Il se mit à réfléchir quelques instants à ce que pourrait être ce liquide mis-à-part du sang. Il est vrai qu'il serait bien possible qu'il s'agisse de peinture mais d'où viendrait-elle ? Et si ce n'est pas de la peinture, qu'est-ce que ça pourrait être ? Toutes ces questions embêtaient Makoto au plus haut point car il n'aimait pas plus que ça ne pas connaître la nature du liquide.

**Mizuki Ayato**

Ainsi elle avait retrouvé son sang froid, bien que la pièce était dans un piètre, et que les deux personne qui ne se connaissait par ailleurs ni d’Eve, ni d’Adam se trouvait dans une posture assez délicate. S’ils revenaient ainsi tachés de sang à la villa, que penserait-on des deux ? Déjà que la demoiselle éprouvait un dégout fort totale pour cette substance qu’elle s’en serait bien passe, mais il avait fallut qu’elle se réchauffe en pausant ces mains induite du liquide sur sa tenue d’un blanc pur.

Elle fit un petit air dégouté, mais qu’elle idiote ! Oo Elle idiote ? Mais non voyons ce n’est pas de sa faute, une étourderie serait ainsi mieux accepté. Mizu’ is so Perfect. Merci Père pour l’éducation que tu m’as donnée, toutes ces qualités me vont à ravir. Retrouvant son regard pétillant elle se dit. Bah oublions cela et amusons nous. C’était bien le style de la jeune fille de dire ca, mais quand même elle n’allait pas retirer tout ces vêtements devant le jeune homme. Non !! Rien que d’y penser cela fit rougir la demoiselle, ayant un sourire malicieux aux lèvres.

Qu’allait-elle bien pouvoir faire ? Passé du jour à la nuit était son art. La preuve, elle est très Lunatique. Faisant quand même un peu la moue, la jeune fille était passé du désespoir a la demoiselle qui porte en elle la joie de vivre. Elle courait vers le jeune homme, mais cette fois –ci d’une autre manière, en sautillant joyeusement naturellement, la demoiselle s’accrocha a son bras. Et lui susurra a l’oreille.

M.« Ce n’est pas grave, merci quand même »

Miss avait soudain une envie folle de danser. Ils étaient deux sans les Morinaga pour les surveillé Hey hey je sais que tu surveille notre sujet va ;D. Cela ce fête, elle regardait le jeune homme, dont même le nom elle ne connaissait pas, se posé encore des questions sur ce liquide. C’est fou ce qu’une supposition, peu faire changé une fille. Dans son regard on pouvait lire une envie irrésistible, de quoi hum de savoir. La jeune fille est très infantile, pour elle, la vie n’est qu’un jeu. Plus il y a de défi à relever, mieux c’est. Mais sachez que demoiselle n’a jamais perdue, sinon ce ne serait pas drôle. Plus il y a de mystère mieux c’est.

Elle décida enfin de lâcher la jeune personne avec une petite touche de rancœur, et commençait a tournoyer dans tout les sens, mais n’oublions pas que miss est en jupe, un peu gênée elle s’arrêtât net. Mettant ces mains sur sa jupe, elle commençait a rougir. Au moins elle n’était pas tombée à nouveau. Gardant toujours un peut de ces couleur celle-ci dit :

M.« Hum je vais dire que c’est de la peinture vue sa substance, au moins c’est bien imiter. »

Il y avait une voie joueuse dans le ton quand elle avait prononcé ces paroles, et derrière son petit air malicieux, on se demandait si c’était Ange ou Démon ? Personnes ne sais, du moins pas pour l’instant. Et surtout sa la rassurait elle même de savoir que ce si était de la peinture lui semblait plus logique, bien que l’odeur et la vitesse a lequel cette substance faisait penser. Rah bref nous oublions un peu le centre du sujet.

Gardant tout a la fois son petit air songeur, elle se demandait se qu’il allait bien pouvoir ce passer, âpres tout un mort-vivant serait bien capable de surgir de nulle part, on était vraiment pas à l’abris ici, elle aurait mieux fait de rester au bras du jeune homme, si jamais la maison s’écroule et son ainsi séparé, bah on sait jamais, dans cet endroit, surtout que l’état laissait à désirer, tout craquait dans cette maison, une vrai vieillerie, qui s’amuse a jouer avec les sens des jeunes.

Le temps ne semblait pas s’arranger, au moins elle n’était pas arrivée ici tremper, et avec le blanc qu’elle porte, vous n’imaginez même pas la gène que celle-ci éprouverait en voyant son haut devenir transparent. Le temps n’était ainsi pas de charmes à ces yeux. Bah il le sera un jour, comme tous…

Retrouvant son coter enfantin elle dit, les bras derrière sont dos, les mains dans les mains, jambes croisées :

M.« You want to play with me? “

Dans ces moments la, certain semblerait piégé, mais d’autre plutôt attiré. Et c’est vrai, elle ne désirait que s’amuser. La villa semblait morte, il y avait un esprit tendu, sérieux qui lui rappelait son père. Lui disant toujours.
Fais pas ci, fais pas ca, viens ici, mets toi là… Bref vous connaissez la chanson. Elle n’a jamais connue vraiment sa mère, Peut-être ne connait-elle pas le sens de la vrai vie, peut-être pour ca qu’elle plonge pour un rien. Il n’y avait rien de cacher derrière ces paroles, non tout est pour le moins normal, pour l’instant, enfin le liquide rougeâtre nan, c’est une exception. Faisant le même rire cristallin de tout à l’heure elle dit :

M.« Hi Hi Hi When do you want?”

**Makoto**

En y réflechissant mieux, se serait vraiment trop bizarre que ce soit du sang. Ce serait bizarre mais aussi très peu probable. C'est cette pensée qui rassura quelque peu Makoto. Il aurait bien voulu faire partager cette impression avec la jeune fille mais il n'avait aucune idée de comment faire. Il se retourna pour voir si elle allait toujours bien et il la vit en train de faire une petite moue dégoutée vraiment adorable. Le jeune homme ne pût s'empècher de sourire à la voir ainsi mais il reprit vite son sérieux en se disant que c'était trop déplacé de penser ça d'elle alors qu'il ne la connaissait même pas. Mais c'est vrai ça. Il ne connait même pas son prénom. Tout les deux avaient vécus une drôle de chose mais ils ne connaissaient rien l'un de l'autre. Il étouffa un petit rire en comprenant l'origine de la moue de la demoiselle. Celle-ci venait de frotter ses mains sur son haut ce qui laissa de longeus traces rouges. Le blondinet mit sa mains devant sa bouche pour ne pas se mettre à rire. Il réussit à se retenir car lui aussi était enduit de ce liquide encore inconnu. Il vit le petit sourire malicieux qui s'installa sur les lèvres de la jeune fille. Pourquoi ce sourire ? Makoto ne le demanderait pas à la demoiselle mais cela l'intriguait fort. De plus, juste avant, elle s'était mise à rougir sans raisons apparentes. Le jeune homme décida d'abandonner définitivement d'essayer de comprendre l'esprit des femmes.

Soudain, la jeune fille sourra vers lui et Makoto se demanda bien pourquoi. Elle s'accrocha à son bras et lui dit que ce n'était pas grave s'il ne connaissait pas la nature de la substance. Elle le lui avait sussuré à l'oreille et son souffla avait fait frissoné légèrement le jeune homme. Il souira quand même il lui fit un petit signe amicale de la tête qui voulait sûrement dire « Mais de rien c'est normal ! ». Makoto regarda la jeune personne et vit qu'elle avait un regard malicieux et pleins de joie de vivre. Mais comment faisait-elle pour changer ainsi d'humeur aussi rapidemment ? Encore une question de plus sur le comportement des femmes. Décidemment, Makoto ne les comprendraient jamais mais cela lui faisait plaisir de voir que la jeune fille allait mieux et qu'elle n'avait plus peur de ce liquide étrange.

Puis finalement, la demoiselle lacha le bras de Makoto et se mità tournoyer dans la pièce comme si elle dansait. Le jeune homme la trouvait vraiment jolie et la voir ainsi joyeuse lui faisait d'autant plus plaisir. Il la regarda faire son petit tour de manège jusqu'au moment où il s'aperçut qu'elle était en jupe. Evidemment, son esprit d'homme ne pût s'empécher de faire glisser son regard vers la petite jupe de la princesse en face de lui. Il y jetta un furtif regard avant de fermer les yeux aussitôt. On dit toujours que la curiosité est un vilain défaut et bien maintenant Makoto savait pourquoi. Il venait de voir les sous-vêtements de la jeune fille qui ne s'était aperçue de rien et encore heureux. Le blondinet se mit à rougir rien que d'avoir vu la petite culotte de la demoiselle. Si il avait était seul, il se serait sûrement donné une petit claque lui-même pour avoir osé avoir ce regard sur la jeune fille qui avait reprit la parole.

« J'espère que tu as raison. En tout cas, je te crois moi ! »

Ce ne fut que à ce moment qu'il enleva ses mains de son visage. Par soulagement, il pût constater que la demoiselle avait remit en ordre sa jupe. Elle avait l'air joyeuse et avait toujours cette bouille malicieuse. Son petit visage abosrbait vraiment l'attention de Makoto mais il se retint de faire un seul commentaire là-dessus. La pluie commença alors à tomber. Le jeune homme posa son regard sur l'extérieur et regarda les gouttes tomber à une vitesse folle. Au mions, il était rassuré de ne pas être arrivé alors que le temps était ainsi. Vous imaginez un peu dans l'état dans lequel il serait ? Lui qui avait un T-shirt blanc, son vêtement serait devenu transparent et il aurait eut toutes les gènes du monde pour rester près de la jeune fille. D'ailleurs, elle aussi avait un T-shirt blanc alors encore heureux qu'elle ne soit pas arrivée sous la pluie elle aussi. Ils auraient étés dans de beaux draps ! Tout les deux avec T-shirt transparent quoi que cela devait être plus génant pour la demoiselle. Concours de T-shirts mouillés ! Qui veut participer ?

Puis le jeune homme repporta son regard sur la jeune inconnue qui avait un air joueur. Elle avait les mains derrière les dos et les jambes croisées. Elle se mit soudain à parler en anglais. Encore heureux, Makoto parlait cette langue plutôt bien. Le blondinet se rapprocha à petits pas de la jeune demoiselle et lui fit un grand sourire. Il se pencha un peu en avant, une mains dans le dos, et posa l'index de sa main libre sur le nez de la jeune fille en répondant sur un ton enjoué ;

« Yes, of course ! »

Quand la demoiselle se mit à rire, Makoto en fit de même en se redressant. Il la regarda rire puis la jeune fille lui répondit une autre phrase en anglais toujours. Avec le même ton enjoué, Makoto répondit de nouveau.

« Now, if you want. »

Sans plus attendre, le blondinet trottina vers une des fenêtres et passa ses mains dehors. Il les mit de sorte à pouvoir récupérer de l'eau au creux de ses mains et, quand il eut assez d'eau, il revint près de la jeune fille et lui lança les quelques gouttes au visage. C'était peu d'eau mais assez pour la mouiller.

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